Me souviens de la découverte des photos (dans Match je pense) au moment de la construction, "en mon adolescence", du vertige de la lumière et de la confirmation de mon désir d’être architecte, cette beauté contemporaine venant compléter l’amour des formes des absides romanes
oui le vertige, et en revenant je me rends compte que je n’ai photographié (ou presque) que la face qui était au soleil (la prochaine fois, j’irai lorsque le soleil sera de l’autre côté, pour compenser, et faire double-vertige :-))
Chère Christine,
Vous n’imaginez pas le remuement que vous provoquez, ici, dans mon Saint-Barthélemy qui n’est pas celui que vous connaissez (peut-être), mille fois traversé en passant le pont sur l’Ognon pour aller à R.— et le son des cloches que je connais "par cœur", cloches qui portent entre autres les prénoms de ma grand-mère Adèle ( qui ne manquait pas un 8 septembre là-haut en s’y rendant en sabots, c’était bien avant Le Corbusier ) et le mien !
Ai été très touchée par vos réflexions sur le "je" flottant, et les inévitable "peut-être". Comment pourrait-il en être autrement au pied de ce chantier ?
Cette colline est un lieu magnétique, un mille-feuille de mémoires superposées , du bas en haut et du haut en bas ( et l’arrivée de R.Piano en rajoute une sacrée couche). Lorsque par-dessus le marché cette dimension collective croise l’histoire intime, il y a tous les ingrédients pour être embarquée dans une folle aventure. Bon vent Christine !
Françoise
PS. évidemment, vos photos sont mes photos, n’y voyez pas d’arrogance, juste une étonnante complicité.
Merci beaucoup Françoise ! et bien sûr mes photos sont les vôtres ! c’est vraiment un endroit spécial et plus j’y vais, plus je réalise que je ne suis qu’au début de le comprendre :-)
Messages
1. #journal #Ronchamp #images #matière, 14 avril 2013, 18:29, par brigitte celerier
Me souviens de la découverte des photos (dans Match je pense) au moment de la construction, "en mon adolescence", du vertige de la lumière et de la confirmation de mon désir d’être architecte, cette beauté contemporaine venant compléter l’amour des formes des absides romanes
1. #journal #Ronchamp #images #matière, 14 avril 2013, 19:38, par Christine Jeanney
oui le vertige, et en revenant je me rends compte que je n’ai photographié (ou presque) que la face qui était au soleil (la prochaine fois, j’irai lorsque le soleil sera de l’autre côté, pour compenser, et faire double-vertige :-))
2. #journal #Ronchamp #images #matière, 14 avril 2013, 18:44, par Françoise Ascal
Chère Christine,
Vous n’imaginez pas le remuement que vous provoquez, ici, dans mon Saint-Barthélemy qui n’est pas celui que vous connaissez (peut-être), mille fois traversé en passant le pont sur l’Ognon pour aller à R.— et le son des cloches que je connais "par cœur", cloches qui portent entre autres les prénoms de ma grand-mère Adèle ( qui ne manquait pas un 8 septembre là-haut en s’y rendant en sabots, c’était bien avant Le Corbusier ) et le mien !
Ai été très touchée par vos réflexions sur le "je" flottant, et les inévitable "peut-être". Comment pourrait-il en être autrement au pied de ce chantier ?
Cette colline est un lieu magnétique, un mille-feuille de mémoires superposées , du bas en haut et du haut en bas ( et l’arrivée de R.Piano en rajoute une sacrée couche). Lorsque par-dessus le marché cette dimension collective croise l’histoire intime, il y a tous les ingrédients pour être embarquée dans une folle aventure. Bon vent Christine !
Françoise
PS. évidemment, vos photos sont mes photos, n’y voyez pas d’arrogance, juste une étonnante complicité.
1. #journal #Ronchamp #images #matière, 14 avril 2013, 19:40, par Christine Jeanney
Merci beaucoup Françoise ! et bien sûr mes photos sont les vôtres ! c’est vraiment un endroit spécial et plus j’y vais, plus je réalise que je ne suis qu’au début de le comprendre :-)