arcachon, suzanne
samedi 3 novembre 2012, par
ce serait prendre l’escalier, lentement, l’odeur des pins attire, comme une lévitation qu’on ne peut pas exprimer, dans la rue calme qui rassure d’autres maisons, une autre rue sur elle repliée angle, un assemblage de table de banquet, promise ; s’il est passé ici on ne sait pas, les jambes trop courtes rendent les marches problématiques, et on ne sait pas s’il a aimé ici suzanne au menton ferme née marie clémentine