bangor, josephine
samedi 3 novembre 2012, par
nom d’un hymne irlandais à mélodie perdue, je la cherche, ne trouve qu’un chant de guerre, un soldat du courage et dans l’adversité du sang ennemi il se dépasse (toujours sur un tas d’ossements que l’on chante ?) ; il aurait pu venir à 7h du matin, peindre un homme affairé ; ou la nuit, une maison lumière ou une vitrine vide à horloge ; j’imagine sa femme encore vivante, jo, elle vivrait dans un phare invisible au mitan de la rue-sommeil, personne ne passe ici, et le passé comme un dessin sur papier calque