petrópolis, lotte
samedi 3 novembre 2012, par
au dessus de la ville caprice d’empereur, brume vue des hauteurs, des escaliers de bois mènent aux entrées et portes condamnées, douceur colline mais elle ne suffit pas pour vivre, santos-dumont fit un grand saut (lui qui ne voulait pas d’avions de feux) et zweig s’endormit (sur les photos, plusieurs, on se demande qui a osé les prendre, vautours, combien, qui a bougé les bras de lotte, abîmé son sommeil et arrangé ses mains, pourquoi ont-ils touché à l’étreinte, la dernière ?)