20-04-2011 notes
samedi 3 novembre 2012, par
jour _ entendez-vous dans les campagnes mugir ces féroces soufflets ? c’est une bête qui chante quand elle respire, on entend mieux sa peine allongé sur son ventre, quand on l’écoute elle se calme, comme nous soulagée
nuit _ ai rêvé d’escaliers de marches de déploiement, ai sauté sur des touches pour atteindre la rive, clé de sol, puis sur une pause, ma queue en croche s’est tordue, prisonnier de la partition - ou pratition ? - et c’est le silence au réveil, un trait plat posé sur une ligne