photofiction #1
vendredi 12 octobre 2012, par
toutes ces questions, l’utile, l’essentiel, où porter le regard, à l’intérieur de quoi poser les mains, ce que l’on doit étreindre, une matière qu’on malaxe avec la peur de la brusquer, ou la pudeur (ou si c’est soi qu’on maltraite, quel besoin de fouiller, puisqu’au final, oui, au final, ces questions, toutes, fuyantes)