Lu dans Fellini par Fellini :

"Il m’arrive, en voyant les désastres causés par la calvitie, certaines taches jaunes sur la peau, des rides, des éboulements, il m’arrive de me dire qu’un jour ou l’autre je téléphonerai à un cher ami qui réside à Milan et qui m’a parlé d’une clinique en Russie (?) ou l’on entre âgé de soixante-dix ans et on en ressort à soixante et onze, pour ce qui est de l’état civil, vu que le traitement dure une année, mais, d’apparence, on a l’air d’en avoir soixante-neuf et de bien les porter. C’est du moins ce que m’a dit cet ami qui est un peu plus jeune que moi mais qui a tous les cheveux blancs et qui au surplus ne se rappelle plus où se trouve cette clinique."

Je lycopode des mots et du matériau.

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