13-04-2011 tirela
samedi 3 novembre 2012, par
jour _ cochon qui s’en dédie et reflets sur son groin, des paysages énigmatiques à traverser il y en a, et chacun d’eux un nouveau port, le ventre empli de souvenirs
nuit _ ne pas dormir, être porté, vaguelettes d’ombre, mer douce au bord de mes moustaches, il n’y aurait qu’à traverser, ô gué à gué, les songes en balustrades, en rades, et au balcon, ça danse en rond très gravement, au son des flûtes et des corneilles, rats des écuelles, ça se recueille nonchalant, rats des salants, la chanson que personne n’entend